Savon de Marseille, vrai et faux

28 avril

   Le savon de Marseille est réputé pour être un produit naturel, sans ajout de colorants, de parfum, d’actifs en tout genre. C’est la simplicité du produit qui pousse les consommateurs à lui redonner leurs faveurs. Si vous souhaitez gagner du temps lors de vos achats, je vais vous donner les composants principaux de ce savon, et des exemples de faux savons de Marseille, car même si le nom n’est pas protégé, il y a bien eu un édit, le fameux édit de Colbert ordonné par Napoléon afin de poser les lignes de ce que doit être notre savon de Marseille.





C’est simple, avant même de lire les composants de votre savon, vous pouvez le reconnaître par sa forme et sa couleur. En effet LE savon de Marseille est cubique, par définition tout savon en forme de savonnette n’est pas un savon de Marseille. De plus il est soit vert (huile d’olive), soit blanc cassé (huile de palme, eh oui c’était fait comme ça à l’époque et la recette n’a pas changé). Ca élimine déjà bon nombre de produits dès le premier coup d’œil, sans avoir à vérifier les ingrédients. 

Si toutefois vous êtes intéressé/e, sachez qu’il doit être principalement composé :


-    -     d’huile d’olive 72%               sodium olivate

-         d’huile de coprah issue de la noix de coco        sodium cocoate

-         d’eau          aqua

-         de glycérine produite par la saponification                glycerin

-         de sel          sodium chloride

 
En aucun cas il ne doit comporter de graisse animale. Si vous voyez sodium tallowate, c’est du suif, soit de la graisse de bœuf, alors que le savon ne doit contenir que des huiles végétales. Vous verrez ci-dessous que la majorité des savons du commerce sont fabriqués avec cet ingrédient que je trouve peu ragoûtant et bas de gamme en plus.
Pour encore plus de facilité, vous pouvez vous référer au label (en haut de la page), présent sur un produit respectant les critères décrits ci-après.





Le savon de Marseille divise parmi les savonniers. D’un côté l’UFSM (dont l’Occitane, La Licorne), de l’autre l’UPSM (dont le Fer à Cheval, Marius Fabre). Tandis que les premiers pensent qu’il devrait être possible d’y incorporer des couleurs pour étendre leur marché et de changer la forme cubique du savon d’origine selon les envies des clients internationaux, je me range du côté des seconds, qui, plus puristes, prônent la fabrication à l’ancienne au chaudron, l’IGP limitée à la région des Bouches du Rhône (en soit la France ça aurait suffit il y a des savonniers basés ailleurs que dans le sud), la forme cubique du savon, le minimalisme de la recette sans ajout de colorants, de conservateur, de parfum.


A mon sens si tu veux un savon de Marseille tu l’achètes comme il est, point. Pareil pour tout autre produit. Je vais pas demander un savon d’Alep octogonale parce que ça me rappelle mon pays quand je pars en vacances, bon. Alors oui ça peut fermer des portes à une partie des consommateurs qui veulent de la couleur, mais il me semble que la majorité des acheteurs pensent & veulent acheter un savon fait dans les règles de l’art en France. 

Il faut voir le nombre de contrefaçons que l’on trouve partout, sur les marchés de villages, dans les supermarchés, dans des boutiques de savonnerie, etc. Qui ne sont fabriquées ni par des artisans savonniers, ni même en France, et qui volent (oui oui) le marché aux savonniers traditionnels qui restent fidèles à l’authenticité de la fabrication ancestrale de notre cher savon. 

Et pardon mais l’Occitane je ne savais même pas qu’il prétendaient faire du savon de Marseille, ils ont bien d’autres produits donc bon, faut arrêter de penser que par le fric non ? De toute façon ils sont basés en Chine donc soutiennent les tests sur les animaux pour ‘ouvrir’ leur marché, pas surprenant pour moi qu’ils soit prêts à faire des compromis sur la recette du savon de Marseille donc. Le fric le fric le fric.

























Je vis sur (ça se dit comme ça) Paris, et j’ai plusieurs choix :


-         prendre le train pour salon de Provence et acheter direct en savonnerie

-         aller dans la boutique Marius Fabre au 26, rue de Turenne dans le 3e (!)

-         aller dans un magasin de bricolage type Castorama

-         aller chez Truffaut

-         aller dans une droguerie

-         aller dans un Bazard, certains en vendent







J’espère que cet article vous aura été bien utile. Je me suis déjà faite avoir en étant ravie de mon achat et sans prendre la peine de regarder les ingrédients, ben non si c’est marqué c’est que c’est du vrai… Comme quoi on peut être naïf. Depuis ma visite à la savonnerie Marius Fabre dont j’aimais beaucoup les produits, j’ai véritablement compris ce qu’est un vrai-véritable savon de Marseille. 


Ce n’est pas évident lorsqu’on naît dans un système d’achats compulsifs plaisirs + green washing + achats de masse + société pressée qui fait un peu trop confiance aux industriels.

Je vous invite à y prêter attention lors de vos achats pour ne pas mettre tout et n’importe quoi sur votre peau (pour quel produit que ce soit) et puis ne pas soutenir des entreprises qui s’en carrent pas mal de vendre tout un tas d’ingrédients dont on sait qu’ils ne sont pas nécessaires et de surcroît bas de gamme et potentiellement allergisants. C’est aussi une manière de soutenir le savoir-faire français et authentique de nos savonniers qui ont failli fermer leurs portes lors de l’apparition des détergents chimiques. Heureusement les consciences s’éveillent à nouveau et on s’intéressent de plus en plus au naturel & sain (naturel ne signifie pas toujours sain).


Et si vous en avez l'occasion, n'hésitez pas à visiter une savonnerie artisanale, c'est très sympathique (même s'il fait très chaud) et c'est toujours plaisant de repartir avec des produits faits sur place :)







Copyright, publié le 28-04-2018, Tous droits réservés


Nettoyant liquide maison pour les mains

27 avril







  Cela fait un moment que j'ai remplacé mon gel nettoyant mains par du vrai savon de Marseille, utilisé pour le corps, les mains, la lessive, le ménage, etc. En 15 minutes max, vous pouvez réaliser facilement votre nettoyant mains maison, personnalisable selon vos envies.







C'est vrai qu'au lieu de le râper et de le diluer, on pourrait le laisser en l'état, mais je n'aime pas l'idée que tout le monde touche le même savon. J'ai aussi conservé l'habitude du distributeur à savon pour doser la quantité souhaitée, rapide, efficace et sans que ça ne glisse entre les mains.





 

-Un bol 
-Une râpe 
-Un petit fouet
-Un entonnoir
-Un contenant type flacon pompe
-Un savon 
-De l'eau 
-Un conservateur aqueux type EPP
 





1. Choisir son savon. Je prends n'importe lequel de mes savons, la majorité sont des savons de Marseille. Tout autre savonnette fera l'affaire. Vous en trouverez dans les magasins de bricolage ou  drogueries pour env. 5€ les 500g. 

2. Mettre l'eau a bouillir, l'équivalent de la moitié de votre flacon pompe (en verre au mieux).

3. Munissez vous d'une râpe avec un manche. Depuis que j'ai acheté la mienne (Ikea), mes poignets me disent merci.

4. Râpez le savon pour former de petits copeaux qui fondront plus rapidement. Comme d'habitude je fais plus ou moins a l’œil mais j'essaie de doser l'équivalent de la moitié de mon flacon à remplir. 



5. Une fois le savon râpé j'en profite pour le passer entre mes doigts (comme si vous mettiez une pincée de sel) histoire de réduire la taille des plus gros copeaux, puis je verse l'eau chaude, je touille et j'attends 5 minutes que tout soit dilué.



6. Le mélange doit s'être épaissi, le résultat peut être plus ou moins liquide selon le type de savon utilisé. Vous pouvez aussi choisir de rajouter de l'eau si vous trouvez le rendu trop épais. Avec la graisse de bœuf (sodium tallowate) que l'on retrouve dans la majorité des savons du commerce, je ne connais pas le rendu. Il est temps de fouettez jusqu'à obtention d'une texture crémeuse.

7. J'ajoute 10 gouttes de conservateur, 40go/100ml. Je fouette un dernier coup.

8. Je verse le tout dans mon/mes contenants avec un entonnoir pour ne pas en mettre partout. Pour les entonnoirs de même taille que l'embouchure du flacon, maintenez-le quelques cm au dessus de la bouteille afin que le savon coule plus rapidement sans déborder sur les côtés. 


 

Vous pouvez personnaliser cette recette avec de la glycérine (Naturalia, AZ...), du miel, des senteurs, des actifs, etc. mais pas d'huile essentielle car ça se dilue dans de l'huile et non de l'eau, principale composant de notre préparation.


Pour le nettoyage des ustensiles de préparation c'est pratique, ils sont déjà couverts de savon.















Copyright, publié le 27-04-2018, Tous droits réservés


Bien choisir son soutien gorge

26 avril

 

   Plusieurs tailles, plusieurs formes, plusieurs coutures, pour plusieurs poitrines. Pour savoir lesquelles nous correspondent, faisons un tour sur les différents modèles existants.

J'ai découvert différentes formes de poitrines mais surtout différentes formes de soutiens gorge avec divers tissus, dentelles, tailles, coutures, matières dont je n’avais pas connaissance. On a pas de cours sur comment bien choisir un soutif à l’école, alors je me suis dit que cet article ne serait pas de trop, peu importe à quel âge. J’ai vu des femmes qui portaient la mauvaise taille depuis des dizaines années !

Le début du démarrage du commencement, c’est d’essayer son soutien gorge correctement, qui sait vous portez peut être la mauvaise taille (c’était mon cas).

En magasin, vérifiez votre taille avec une vendeuse. Vous lui demandez de vérifier votre taille, tout simplement. Le corps de la femme est changeant, pas besoin de grossesse pour le savoir. Les vendeuses en lingerie sont généralement de bonnes conseillères, n’hésitez pas à demander leur aide, elles sont là pour ça. Si ce n’est pas le cas, voici quelques méthodes efficaces qui vous feront gagner du temps et que vous pouvez faire seule :

 





Regardez bien les tailles affichées. Parfois il y a celles de plusieurs pays et on s’y perd, la taille française correspond à EUR, la première taille affichée sur l’étiquette swiftée normalement. Si vous n’êtes pas sûre de votre taille ou de la forme qui vous conviendra, ou des deux, ne prenez pas vingt modèles, demandez à la vendeuse de vous mesurer puis faites vos essais dans les différentes formes qui vous intéressent. Ça évitera une cabine chaotique et ça permettra aux vendeuses de passer plus de temps à conseiller qu'à recintrer et ranger inutilement. Ça fait partie de leur job mais tout de même. Pour la base de la base, XS : 34/36 | S : 36 voire 38 | M : 38/40 | L : 40/42 | XL : 42/44 |  XXL : 44/46… ça peut varier selon les bas, un string sera plus serré qu’un boxer ou qu’un tanga. Pour éviter les coutures voyantes, choisissez les modèles sans coutures et surtout la bonne taille.




Enfiler votre soutien gorge et attacher-le au premier crochet, le moins serré, au pire celui du milieu. Il va se détendre au fur et à mesure que vous le porterez et le laverez, il faut donc penser à ne pas le serrer à fond dès le début. Pour éviter qu’il ne se détente trop vite, pensez aussi aux filets de lavage, ça protège bien, c’est un petit investissement qui en vaut la peine quand on commence à investir dans de la lingerie de qualité.

Une fois cela fait et si il tient bien en place, ajuster les bretelles de sorte que votre poitrine soit bien positionnée. Selon les asymétries, il n’est pas rare qu’une bretelle soit bien plus serrée que l’autre. C’est tout à fait normal. L’aile arrière doit être au même niveau que le devant et ne pas remonter à fond, ce qui est inesthétique, inconfortable, inutile au niveau du maintien et oppressant. Pensez à ne pas trop serrer les brettelles, le soutien gorge n’est pas sensé être un outil de torture. A ce stade si vous êtes à l’aise c’est qu’a priori la taille et la forme doivent être correctes.

Maintenant que tout est réglé et serré comme il faut, mettez vous droite face au miroir et levez les bras devant vous jusqu’au dessus de la tête (comme une ola). Pause/pose. Restez comme ça, tournez vous légèrement sur le côté comme pour voir cos côtes. Si vous observez que le soutien gorge est remonté et qu’un des seins (voire les deux) est sorti, c'est que le bonnet est trop petit. Il faut prendre la taille au dessus (B, C, D, E...)

Si vous êtes entre deux tailles, ce qui est fréquent, vos tailles pourront varier selon les formes et les matières mais une fois qu’on a fait tous les essais nécessaires on connait ce qui nous correspond le mieux.

Laissez vous faire. A mes débuts, je regardais les modèles avec appréhension voire dégoût. Mais comment vais-je vendre des styles que je n’aime pas ? Et au fur et à mesure que je les voyais portés, je me rendais compte que le rendu sur peau était complètement différent que sur cintre. Je me suis mise à faire plein d’essayage avec mes collègues après la fermeture pour mieux comprendre l’utilité de chaque forme, les problématiques de chaque tissu, et balayer mes a priori.



Je vais me concentrer sur les plus communes.

Tout d’abord le push-up. Il est d’une matière épaisse et moulée, c’est-à-dire qu’il a déjà la forme arrondie sans même être porté. Dans les bonnets A à C, il comporte généralement un rembourrage amovible ou non. On peut le trouver en invisible, c’est-à-dire sans dentelle et dans des coloris neutres (noir, blanc, chair). Il est très apprécié des petites poitrines car il galbe les galbe en donnant un aspect arrondie et rebondi, et offre un décolleté sexy grâce à son godet très rapproché.

Le moulé. Il ressemble au push up à la différence qu’il a une forme arrondie sans être rigide. Si on enfonce le doigt dans la coque, elle se déforme. Généralement sa partie centrale (le godet) est plus haute que le push up qui a un décolleté plongeant donc un godet plus étroit. Le rendu est arrondi et plus naturel.

Le galbant. C’est un push up en plus enveloppant puisqu’il remonte sur les côtés des seins et offre en godet plus large pour plus de confort. Le décolleté est moins plongeant mais la poitrine est maintenue de façon plus naturelle, elle est moins oppressée. C’est une solution si vous préférez une coque rigide mais pas oppressante comme peuvent l’être les push up.

Le corbeille. Il est très généralement en dentelles, ne couvre pas toute la poitrine et les coutures visibles sur le devant sont à la verticale, ce qui le différencie du soutien gorge balconnet. Il réhausse la poitrine en gardant un galbe naturel.

Le balconnet. Il ressemble fortement au corbeille, sauf qu’il enveloppe plus la poitrine. Le corbeille a une forme plus horizontale tandis que le balconnet est plus en diagonale sur la poitrine. Il peut avoir une couture avant horizontale ou verticale. Idéal pour les poitrines généreuses car il va jusqu’au G dans certains modèles et chez certaines marques (Chantelle ou Lejabi par exemple).

L’enveloppant. En dentelles ou uni, c’est le chouchou des fortes poitrines et il n’a rien du soutien gorge mamie. Il est décliné jusqu’au bonnet G ou plus, il est confort (selon les dires) et maintient bien, tout en laissant un galbe naturel. La couture avant est surtout horizontale. Quand il est cintré il peut paraître grand, mais une fois porté le rendu est vraiment top. A tous âges.

L’emboitant. Souvent en dentelles, il a une forme de galbant sans rigidité, protège le haut de la poitrine et la maintien avec un godet plus ou moins large. Les coutures avant sont horizontales. Il offre un rendu naturel.

Le bandeau. Ce type de soutien gorge est souvent proposé avec ou sans bretelles, les accroches sont cachées à l’intérieur du bonnet, près des aisselles. L’aile et le godet sont plus larges pour plus de maintien dans le cas où on le porte sans bretelles. Mieux vaut choisir un modèle qui comporte des bandes de silicone à l’intérieur afin de mieux adhérer à la peau. Pour les poitrines généreuse on peut aussi mettre des bretelles transparentes si on doute du maintien.

Le sans armature. Idéal pour celles qui se sentent oppressées, qui ne supportent pas les armatures ou celles qui ont une fragilité à la poitrine. Je pense notamment aux femmes qui ont subi une intervention chirurgicale. Le rendu est naturel.

Toutes les formes ne conviennent pas forcément à chaque poitrine, alors que certaines auront un effet décolleté du tonnerre avec un corbeille, d’autres auront un effet raplapla avec la dentelle supérieure qui flotte. Ce sera notamment le cas de celles qui ont une poitrine plus en poire ou moins gonflée sur le dessus.









Si vous avez trouvé le modèle idéal, le bon bonnet, mais que le tour de taille est au max et que ça ne va toujours pas, inutile de se torturer en forçant, il faut toujours être à l’aise. Solution simple : le rajout. Ça se présente comme un petit rectangle avec trois ou quatre rangées de crochets, par deux ou trois selon la largeur de la pièce. On en trouve dans tous les magasins de lingerie, souvent en caisse. Vous trouverez généralement 3 coloris : noir, blanc, beigne. C’est lavable et réutilisable sur n’importe quel modèle, à condition de respecter la même largeur de l’aile pour ne pas marquer la peau.

Dans le cas inverse, si le tour de taille le plus petit est trop large pour vous, il n’y a aucune solution possible.

Chaque forme offre un maintien différent. Si vous êtes entre deux tailles, un push up devra être choisi avec un bonnet plus important car il est plus écrasant et oppressant. Une forme plus naturelle telle qu’un enveloppant ou un corbeille, et tout ce qui est dentelle sera moins rigide qu’un galbant ou un push up, et pourra se porter avec le bonnet inférieur que celui utilisé pour une coque épaisse.






Chaque poitrine est unique, c’est pourquoi cette méthode ne marche pas pour toutes les femmes. Chez moi c’est inefficace. Cette astuce permet de trouver chaussure à son pied même si votre taille n’est plus disponible dans le(s) modèle(s) qui vous plaisent. Elle consiste à prendre un tour de taille supérieur au vôtre (du 90 pour un habituel 85 par exemple) et de réduire le bonnet d’une taille (du C pour un habituel B par exemple). Ça peut également fonctionner dans le sens inverse, avec une forme de soutien gorge et pas une autre, voire avec aucune forme comme pour moi. Dans ce cas il faut passer à un autre modèle.




Pour les dos nu sans avoir à racheter un soutien gorge, les bretelles en rajout sont parfaites puisqu’elles offrent -comme le rajout- la possibilité de s’accrocher directement à l’arrière du soutien gorge, sur les crochets, afin de se croiser dans le dos et de passer sur le devant où elles seront accrochées l'une à l'autre. Ainsi le dos est dégagé et la poitrine tenue.
Une autre solution existe, ce sont des bonnets individuels ou accrochés sur le devant, en silicone ou tissus qui s’agrippent aux seins. On les achète avec un plastique que l’on retire avant de venir placer chaque pièce sur la poitrine. Ça tient mais ça ne va que jusqu’au C il me semble. C’est réutilisable, vendu avec mode d'emploi.



J’espère que cela convaincra certaines d’oser de nouveaux modèles. Je suis également ravie si cela a pu être utile à certaines ou certains. Messieurs sachez que les vendeuses se réjouissent de voir qu’un homme fait le pas pour faire plaisir à sa chérie ou à lui-même d'ailleurs. Petit conseil pour un cadeau : si vous hésitez entre deux tailles, prenez le bonnet le plus grand et le bas plus petit pour ne pas vexer Madame, c'est échangeable si non porté avec étiquettes intactes et ticket de caisse (ticket cadeau aussi).


Si vous avez des expériences à partager vous êtes les bienvenu(e)s. Je vous conseille les magasins spécialisés, plus chers mais plus à même de répondre à vos besoins.


Bon(s) essayage(s) !







Copyright, publié le 26-04-2018, Tous droits réservés